« Je ne m’y attendais pas » : la révélation de Stéphane de Groodt pour le vin

5 novembre 2025

Comédien, auteur et amoureux des mots, Stéphane De Groodt manie désormais aussi l’art de la scène avec la même élégance que celui du verbe. Entre deux représentations de La Vérité au Théâtre Édouard VII à Paris, il a accordé une interview à la RVF pour une conversation… pleine de vin et de malice.

La Revue du vin de France : Depuis quand le vin fait-il partie de votre vie ?

Stéphane de Groodt : Mon premier souvenir, c’est mon père qui attaquait sérieusement le vin — pas pour le goût, mais pour la quantité. Ma deuxième rencontre, c’est quand j’ai 12-13 ans : à l’issue d’un déjeuner familial, je me dis “tiens, allez”, et je vide tous les verres de la table. Je me retrouve torché pour faire le malin !

Ensuite, j’ai ma phase de compétition automobile, donc je ne bois pas. Et puis je rencontre François-Xavier Demaison sur un tournage, il y a 10-15 ans. Le premier jour, il m’invite à dîner dans un restaurant près de la Maison de la Radio, où il me dit : “Il y a une super carte des vins.” Ça a été le début de quelque chose.

Quel a été votre première grande émotion ?

C’est lors d’une étape avec la mère de mes enfants, à La Grenouillère, le restaurant Relais & Châteaux d’Alexandre Gauthier, dans le Pas-de-Calais. On me fait goûter un Coche-Dury blanc à l’apéritif, parce que je voulais un verre de blanc. Je me suis demandé ce qui m’arrivait, je ne m’y attendais pas ! En rouge, leur Auxey-Duresses a été une deuxième claque. Ensuite, François-Xavier m’a accompagné dans mes goûts. Il m’a fait découvrir La Grange des Pères. Un jour, il m’a même emmené déjeuner chez Jacques Selosse.

Aujourd’hui, quels sont vos vins préférés ?

Ceux de…
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Source la rvf.com